Page:Balzac Histoire des oeuvres 1879.djvu/92

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6. La charrette au bonhomme Fario.
7. Les cinq Hochon.
8. Maxence-Machiavel.
9. Un coup de couteau.
10. Une affaire criminelle.
11. Philippe à Issoudun.
12. À qui la succession ? — Chapitre à méditer par les héritiers.
13. Un duel à mort.
14. Madame Rouget.
15. Le repentir d’une sainte.
16. Conclusion.

L’édition de cet ouvrage publiée sous le titre de les Deux Frères, était divisée en outre en trois parties dont la première ne portait pas de titre ; voici celui des deux autres :

2. Un ménage de garçon en province.
3. À qui la succession ?

Toutes ces divisions ont disparu la même année (1843), lorsque cet ouvrage reparut, daté pour la première fois, sous le titre d’un Ménage de garçon en province, troisième série des Célibataires, dans le tome II de la troisième édition des Scènes de la Vie de province (première édition de la Comédie humaine, tome VI). Dans l’édition définitive, Balzac a encore changé le titre de cet ouvrage, et a substitué celui de la Rabouilleuse à tous ceux qu’il avait déjà portés, sans parler de celui sous lequel il avait en outre été longtemps annoncé : le Bonhomme Rouget. L’endroit où finissait primitivement la première partie, est la ligne 13 de la page 153 de cette édition.

XXXV. Les Parisiens en province. IL’Illustre Gaudissart, daté de Paris, novembre 1833 (et non 1837, comme l’indique par erreur cette édition). Dédié à la duchesse de Castries. Ce récit parut pour la première fois, inédit et daté, dans le tome II de la première édition des Scènes de la Vie de province, 1833 (daté 1834). Il a pris pour la première fois, avec la Muse du département le titre collectif de : les Parisiens en province, en 1843, dans le tome II de la troisième édition des mêmes Scènes (première édition de la Comédie humaine, tome VI). La dédicace y parut aussi pour la première fois.

XXXVI. Les Parisiens en province. IILa Muse du département, daté de Paris, juin 1843 — août 1844. (Cette dernière date à cause d’un court fragment ajouté en août 1844 à la fin du roman et qui paraît pour la première fois dans cette édition.) Dédié au comte Ferdinand de Gramont. Imprimé pour la première fois, avec sa dédicace, sous le titre de Dinah Piédefer, dans le Messager du 20 mars au 29 avril 1843, ce récit reparut la même année chez Souverain, en quatre volumes in-8o, faisant partie d’une série d’ouvrages par divers auteurs, sous le titre