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Page:Banville - Œuvres, Les Exilés, 1890.djvu/161

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LES EXILÉS


Et tous ceux qui mourront pour l’amante de pierre,
Tous les pauvres, tous les rêveurs, tous les maudits
Répètent chaque soir, en faisant leur prière :
Accueillez-le, Seigneur, dans votre Paradis !


Nice, janvier 1860.