Page:Banville - Œuvres, Les Exilés, 1890.djvu/266

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
254
LES PRINCESSES


Tout est orgueil, amour, fête, éblouissement
Dans ce groupe de sœurs glorieux et charmant,
Et les beaux grenadiers du régiment de Flandre

Admirent cet éclair de jeunesse et de lys,
Et ces regards d’enfant et cet accord si tendre.
« Ô têtes folles ! » dit madame de Genlis.