Page:Banville - Œuvres, Les Exilés, 1890.djvu/48

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
36
LES EXILÉS

Qui gisait à ses pieds sur le coteau penchant,
Et dont le front traînait dans la fange. Et, touchant
Les flèches dont Zeus même adore la brûlure,
Il marchait dans son sang et dans sa chevelure.


Décembre 1862.