Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 15 —
III
JULES FAVRE
e titan en habit noir dit-il quelque
chose en effet, lorsque plus
bruyant et plus terrible que ses collègues Brontès et Stéropès, il fabrique et
débite ses foudres dans la célèbre armoire aux paroles, à côté du verre d’eau
sucrée ? Pas toujours peut-être ; mais
qu’importe ? Ce front bosselé, ce nez indigné, cette lèvre inférieure qui va au
devant de l’objection, cette prunelle
tranchante, ce sourcil en zig-zag de