Page:Banville - Dans la fournaise, 1892.djvu/185

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Lentement embrasés par leurs apothéoses,
Les cieux d’or sont jonchés d’opales et de roses,
Et de sanglants rubis et de clairs diamants.

Et l’Aurore superbe, heureuse, triomphale,
Nue et rose parmi les éblouissements,
Se regarde rougir dans les yeux de Céphale.