d’autre vœu que celui-là. Mais Loyse y met de l’entêtement ; jusqu’à présent elle m’a résisté.
Peut-être aurai-je plus de crédit auprès d’elle.
Mais encore faudrait-il trouver un épouseur !
Ce n’est pas là le difficile, maître Simon. Mademoiselle Loyse n’est-elle pas jolie comme une petite fée ?
Tu t’en es aperçu ?
Qui ne s’en apercevrait, à moins d’être aveugle ?
C’est juste. Et à ce charme de gentillesse et de beauté, Loyse en réunit d’autres encore. Elle a un père qui possède des prés…
Des prés superbes !
Des vignobles…
Qui produisent le meilleur vin de Tours !
Et sur les coteaux voisins…
De beaux et nombreux moulins que le vent ne laisse pas dormir !
Puis Loyse est notre filleule. C’est un bon parti.
Un parti superbe pour un riche bourgeois de notre bonne