Page:Banville - Les Parisiennes de Paris.djvu/191

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Naïs, petite Naïs, ma bien-aimée, toi pour qui j’eusse essayé de traduire Le Cantique des Cantiques !

Poussée par une déesse, sans doute, je t’ai toujours vue arriver chez moi et frapper : toc ! toc ! les jours où j’allais faire une bêtise, et toujours tu m’en as empêché.

Petite Naïs, pourquoi n’es-tu pas venue me voir ce matin ?