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Page:Barbara - L’Assassinat du Pont-Rouge, 1859.djvu/152

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mes forces, et je parvins à entrer. A terre, près de la porte, en travers, gisait la malheureuse Rosalie sans connaissance. Elle ne revint à elle que pour battre la campagne et me faire craindre qu’elle ne fût devenue folle. Ce n’était que le délire de la fièvre… »