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M. LÉON VALADE
Descriptif et Banvillien, voulant devenir Naïade, désir si vrai d’un poëte du dix-neuvième siècle ! S’il le devenait, du reste, je lui conseillerais de mettre à tremper sa poésie dans l’eau de sa source pour la nettoyer de choses comme celles-ci :
Il est de fins ressorts dont la marche ignorée |
Un fin ressort qui éveille, — non pas la sonnette derrière la porte, — mais le parfum d’une fleur dans un coin de notre âme ! Ah ! Monsieur Valade, Num vales, Valade ? Non ! Non vales ! Cela ne vaut rien, portez-vous mieux, et nous, passons ! Mais pour nous arrêter un moment à cette place, car nous voici au plus intéressant de ces Médaillonnets rapides !