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Page:Barbey d’Aurevilly - Amaïdée, 1890.djvu/25

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À MADEMOISELLE TREBUTIEN

Mademoiselle,


E n vous offrant ces quelques pages, je ne fais que vous les restituer, et j’aime à y attacher le nom de l’ami des meilleures années de ma vie, de celui à qui je dois le plus.

Que la fillette de ce temps-là les accepte comme un héritage d’amitié, — le plus rare et le plus noble des héritages !

Février 1889.
J. B. d’A…