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Page:Barbey d’Aurevilly - L’Amour impossible, La Bague d’Annibal, Lemerre.djvu/270

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LXXVII

« Du moins, — se disait mon héros, — je ne serai point trompé par elle. Elle ne jouera pas avec mon cœur, la gracieuse chatte, comme avec un peloton de fil ! Et si un jour elle en trompe un autre, elle ne montrera pas mes lettres, mes cheveux ou la tristesse de mon front, comme un trophée d’armes. Je veux briser comme du verre sa vanité sous mon orgueil. »