Page:Barbey d’Aurevilly - Les Poètes, 1889.djvu/316

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refrain s’est, je crois, mêlé aux vers de Saint-Maur : L’oiseau que j’attends ne vient pas !

Ce qui fut vrai pour Hégésippe le sera-t-il pour le poète du Dernier Chant ?…

L’oiseau qu’il attendait semblait arrivé. Mais c’est la mort qui est venue.