Page:Barbey d’Aurevilly - Poussières.djvu/48

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S’il t’est doux de m’aimer, préserve ta tendresse,
Ne bois pas que bien tard, bien longtemps après moi !
Et rêve encor l’amour du cœur qui te délaisse…
Du triste cœur qui fut à toi !


Février 1843.