Page:Barbey d’Aurevilly - Poussières.djvu/52

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La coupe où nous buvons n’éprouve pas l’ivresse
Qu’elle verse à nos cœurs, brûlante volupté.
Vous avez la Beauté, ― mais un peu de tendresse,
Mais le bonheur senti de la moindre caresse,
Vaut encor mieux que la Beauté.