Page:Barbey d’Aurevilly - Poussières.djvu/92

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Mais du moins va-t’en de ma vie !
Puisque tu dois partir, ne reviens plus jamais !
Laisse-moi t’oublier. Oublie…
Et puisque tu ne m’as rien donné d’une amie,
Emporte avec toi mes regrets !