Page:Barbey d’Aurevilly - Premier Memorandum, 1900.djvu/57

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avec... — écrit ceci. — appris que Mme De L R ne peut me recevoir demain. Vais lui écrire pour lui soupirer mes adieux.

7 octobre 1836.

levé bien portant. — lu les journaux. — écrit à

Mme De L R. — pris un bain de pieds. — déjeuné.
— écrit à T pour mon poignard. — soldé des

notes. — que tous les diables d'enfer emportent les commissions ! Reçu une visite de L S. — appris que Gr a menti par peur et que lui, L S m'avait dit vrai. La bêtise et la lâcheté combinées ne peuvent guère aller plus loin. — habillé. — sorti. — acheté un tablier pour A et un bonnet de voyage pour ma seigneurie. — allé chez Mme F. — l'ai trouvée. —

— puis chez la  marchesa. 
— je croyais qu'elle

me boudait, mais non ! Les persiennes étaient fermées, et l'on m'a répondu qu'elle ne revenait de Nogent qu'à la fin du mois. — revenu. — dîné. — allé au concert avec G et De G. — une cohue indigne et un mauvais choix de musique. Dandies, furieux, lions y abondaient, mais n'ai pas revu la jeune femme d'hier. — rentré, — et dans les angoisses de l'emballage jusqu'à ce moment. — il est trois heures du matin.