Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu/125

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Hélas ! La mort te prit les deux mains sur la toile ;
Et du beau ciel de l’art, jeune et brillante étoile,
Astre si haut monté, mais si vite abattu,

Le souffle du poison ternit ta belle flamme,
Comme si, tôt ou tard, pour dévorer ton âme,
Le venin du génie eût été sans vertu.