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Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu/149

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J’ai vu les plus beaux corps que l’art ait revêtus ;
Mais rien n’est comparable aux timides vertus,
À la pudeur marchant sous sa robe de neige ;

Rien ne vaut cette rose et cette belle fleur
Qui secoua sa tige et sa divine odeur
Sur le front de ton fils, le suave Corrége.