Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu/267

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Comme du sable, en vain sur l’abîme des temps
L’un par l’autre écrasés s’entassent les systèmes ;

Ton génie est pareil au soleil radieux
Qui, toujours immobile au haut de l’empyrée,
Verse tranquillement sa lumière sacrée
Sur la folle rumeur des flots tumultueux.