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Page:Barbier - Iambes et Poèmes, 1841.djvu/287

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Son labeur sans relâche
Jusqu’au jour de la mort,

Si bien que fasse l’homme
Pour amoindrir le mal,
Et réduire la somme
De l’élément fatal,

Dans les cités humaines
Il restera toujours
Assez de fortes peines,
De maux cuisants et lourds,

Pour qu’en sa plainte amère
L’éternelle douleur
Loin de ce globe espère
Quelque monde meilleur.