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Page:Barbier - Satires et Chants, 1869.djvu/163

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César.
Quant aux deux officiers
suisses, Rodolphe et Schwartz, don Miguel,
chargez-vous
de leur offrir pour moi cinq cents ducats chacun.

Don Miguel.
Je le ferai, seigneur.

César.
Que les troupes soient toutes
sur pied demain matin, en ordre et bien armées.

Don Hugues.
Oui, prince.

César.
Allons, bonsoir ! Adieu, chers capitaines !

Tous.
Au revoir, monseigneur !

César.
Discrétion, courage !

Tous.
Vive notre grand duc, le moderne César !

César.
Avec vos bras, amis, je le serai, j’espère.



Scène V : Sinigaglia

une des portes de la ville du côté de Fano.