Page:Barbier - Satires et Chants, 1869.djvu/251

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Voyez les animaux ! Pour leur besoin sacré
Ils n’ont qu’une saison, celle des fleurs naissantes ;
Mais c’est assez parler de choses transcendantes
Que femme ne saurait entendre sans railler ;
Brisons là !... donnez-moi vite plume et papier
Pour que l’humanité, que j’honore et j’estime,
Ne perde pas un mot de mon rêve sublime.


Publié en 1860.