Page:Barbusse - Pleureuses, 1920.djvu/154

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Oh ! cherche la paix la meilleure
Au bout de ce grand soir brouillé…
Moi j’ai senti le vent qui pleure,
Et comme un pauvre j’ai tremblé.

Il est tard, et j’ai peur de l’heure,
Je me suis relevé tout droit.
Oh ! l’enfer de la paix m’effleure…
Il est tard, et ma lampe a froid.