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Et l’espoir s’en va dans l’onde
Par les fentes du bateau[1].
Écoutez encore celle-ci où la phrase musicale, alors qu’on la croit définitivement brisée, se rattache soudain à la dernière rime par un charmant artifice.
Tout chante et murmure,
Tout parle à la fois,
Fumée et verdure.
Les nids et les bois.
Le vent parle aux chênes,
L’eau parle aux fontaines,
Toutes les haleines
Deviennent des voix[2].
Convenons donc avec Théodore de Banville que, « si une strophe est combinée de telle façon qu’en la coupant en deux on ob-