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LETTRE DE SAINT-PHLIN

teiller. Il crut reconnaître là un trait fréquent chez les aristocrates de se liguer avec tout ce qui est fort. Il voyait assez souvent le petit anarchiste Fanfournot : il le préféra à Saint-Phlin. Il crut que son honneur était engagé à poursuivre une âpre lutte où ses nerfs surexcités par la vie de Paris s’amusaient.