Aller au contenu

Page:Barrès - Le culte du moi : le jardin de Bérénice.djvu/259

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

tudes, était prise de vertige, et l’Adversaire, visiteur plus rude accueilli, avec moins d’amitié et de confiance que moi, reposait pourtant l’enfant brisée.