rains, nous acceptons et voulons belle la France qui s’est faite contre nous. Nous voulons belle l’idée révolutionnaire, qui a pu molester quelques-uns. ». C’est donc que nous sommes patriotes français, et c’est encore que nous servons la tradition encyclopédiste. Il est vrai aussi, comme l’affirme Suret-Lefort, que la France aime à être gouvernée, — non pour qu’on la dirige, mais pour qu’on exécute ses indications, pour qu’on réalise l’idéal qu’elle secrète. Patriotes, dictatoriaux, encyclopédistes, voilà les trois termes auxquels il faudrait qu’un principe supérieur donnât une autorité indiscutable, une valeur religieuse.
Tous convinrent que c’était un beau programme pour la Vraie République. Mais Racadot tristement pensait : « Tout de même, Bouteiller aurait procuré une subvention ! »