Page:Barrucand - La vie véritable du citoyen Jean Rossignol.djvu/416

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Prévôt d’armes. — Rivalités. — Le travail des soldats. — Comment je manquai d’être pendu à Paramé. — Intervention de l’aumônier, du major, et de la marquise de mon capitaine. — Sur la paille. — Je fais des excuses. — Quelques bons tours à ce coquin de sergent. — Une rossée comme il faut. — J’avais une maîtresse 
 20
En semestre. — Je commence à m’ennuyer à Paris. — Une remarquable affaire. — Je suis pris pour un autre. — Un louis à qui me prête une épée. — Ma conversation avec le nommé Patrès. — Blessure mortelle. — Avec la protection du marquis de Livry 
 33
Maitre d’armes. — On embarquait pour les Indes. — Déjà des trahisons. — Les millions de l’Actionnaire. — Le pillage. — Et des bombances. — Chez la belle Ysabeau. — Une vraie boucherie. — À L’hôpital. — Duel à la bayonnette. — Une double opération. — J’échappe à l’embarquement 
 43
En route pour Longwy. — Soldats contrebandiers. — Le souper de Verneuil. — Huit jours à Paris. — La prison en route. — Repas fraternels. — Une lettre des grenadiers de la Sarre, — Les usages du régiment. — Encore les petites questions. — Mon congé absolu 
 53
Je reprends mon métier. — Bonne paye et malechance. — Entre maître et compagnon. — Je me moquais de ses grenades. — Bousculade dans la cour du Palais. — « Montez en voiture ! » — Étapes de travail 
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DEUXIÈME PARTIE
Mon ignorance révolutionnaire. — Henriot levait l’impôt du marché. — Scènes de pillage et de probité. — Re-.