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Page:Barrucand - La vie véritable du citoyen Jean Rossignol.djvu/420

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Les représentants à Saumur. — Mon différend avec Philippeaux. — En tournée d’inspection. — Scène violente à Chantonnay. — Ils croyaient me donner un brevet de Jeanfoutre. — Sur le grand chemin. — À coups d’arrêtés. — « La grande destitution du général Rossignol ! » — À la Convention. — Je suis acclamé 
 202
Le conseil de Saumur. — Manœuvres et stratagèmes. — Un plan impossible. — Avant toute question personnelle. — Les sentiments de l’armée de Mayence. — J’abandonne mon suffrage. — La marche tournante est decidée. — Philippeaux et les fournisseurs militaires. — Nos plans respectifs 
 224
La position de l’ennemi. — Des avantages. — Je suis blessé. — Santerre compromet la colonne. — Le silence du général Canclaux. — La retraite sur Nantes. — Mouvement dans l’armée. — Léchelle me remplace. — Les soldats demandaient Canclaux. — À l’armée des Côtes de Brest. — Les Brigands passent la Loire. — J’improvise une petite armée. — Toujours sans nouvelles. — Marche et contremarche 
 232
À Rennes. — Sous la surveillance du département. — La ville en état de siège. — Foi de républicain ! — Les Brigands se reploient. — Mes brigades franches. — Plusieurs combats avantageux. — Un renfort d’émigrés. — Pour les prendre au piège 
 239
À Antrain. — Fausse attaque de Westermann. — Terreur panique dans la division de Kleber. — Débandade généale. — Sans brûler une amorce. — Marceau et moi nous ramenons les pièces. — Ma démission refusée. — Général en chef des armées réunies. — Le siège d’Angers. — La fin des Brigands. — L’interrogatoire de Talmon 
 246
Je prépare une descente sur les îles anglaises. — Ruamps et Billaud-Varennes à Port-Malo. — Leur sus—