Aller au contenu

Page:Barzaz Breiz 4e edition 1846 vol 1.djvu/119

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Il y a la laie et ses neuf marcassins, à la porte du château, leur bauge, grognant et fouissant, fouissant et grognant ; petit ! petit ! petit ! accourez au pommier ! le vieux sanglier va vous faire la leçon.

Il y a huit vents, etc.

Sept soleils et sept lunes, etc.

Six petits enfants de cire, etc.

Cinq zones terrestres, etc.

Quatre pierres à aiguiser, etc.,

Trois parties dans le monde, etc.

Deux bœufs, etc.

La Nécessité unique, etc.

Tout beau… Que te chanterai-je ?


L’ENFANT.

— Chante-moi la série du nombre dix.


LE DRUIDE.

— Dix vaisseaux ennemis ont été vus venant de Nantes : Malheur à vous ! malheur à eux ! hommes du Vannes !

Neuf petites mains blanches, etc.

Huit vents qui soufflent, etc.

Sept soleils et sept lunes, etc.

Six petits enfants de cire, etc.

Cinq zones terrestres, etc.

Quatre pierres à aiguiser, etc.

Trois parties dans le monde, etc.

Deux bœufs, etc.

La Nécessité unique, etc.

Tout beau… Que te chanterai-je ?