Page:Barzaz Breiz 4e edition 1846 vol 1.djvu/353

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où il y a une noce. Quand elle reviendra, vous la trouverez ici.

— Tu mens ! car tu l’as envoyée comme une vile mendiante garder les troupeaux ; lu mens par les deux yeux ! car elle est derrière la porte, elle est là qui sanglote.

Va-t’en cacher ta honte ! va-t’en, frère maudit ! Ton cœur est plein de mal et d’infamie ! Si ce n’était ici la maison de ma mère et de mon père, je rougirais mon épée de ton sang ! —


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