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de sa politique, chose plus incroyable encore, la veuve de Charles de Blois elle-même s’agenouiller sur la grève devant le libérateur du pays ! « Le duc, allant à eux, les releva doucement, dit le poëte déjà cité ; il les embrassa en soupirant, et, saluant tout le monde, il pleura. » Puis, sans perdre de temps et suivi désormais d’hommes nés en Bretagne, il marcha à la rencontre de l’armée française (3 août 1379).
Le chant de guerre qu’on va lire, qui m’a été appris par un des compagnons de Tinteniac et de Georges Cadoudal, nommé Mikel Floc’h, du village de Kerc’hoant, dans les montagnes d’Arez, fut certainement composé pour cette circonstance.