Page:Barzaz Breiz 4e edition 1846 vol 2.djvu/347

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raient pas été de force, disent les historiens, à le disputer aux Bretons. Les seigneurs avaient aussi leurs lutteurs, qu’ils faisaient jouter les uns contre les autres dans les grandes cérémonies.

Les luttes terminées, ou revient danser, et l’on ne se retire qu’au coucher du soleil.

Il est rare que l’aire neuve ne fournisse pas aux poètes bretons le sujet d’une chanson nouvelle ; nous en avons vu un exemple dans la ballade du marquis de Guérand. Nous allons en donner une autre, mais d’une nature différente ; elle se chante en haute Cornouaille.