Page:Barzaz Breiz 4e edition 1846 vol 2.djvu/435

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Et elle de courir pour avertir le bienheureux Efflamm ; mais la porte de l’ermitage était au grand ouverte, et il était mort comme sa femme.

Afin qu’on n’oublie point ces choses, qui n’ont jamais été dans aucun livre, elles ont été mises en vers, pour être chantées dans les églises.


________