— lannik Flécher, revenez, et je vous donnerai tous mes biens ;
Iannik, mon ami, revenez, et je vous suivrai partout ;
Et je prendrai des sabots, et m’en irai avec vous travailler.
Si vous n’écoutez pas ma prière, rapportez-moi l’extrême-onction.
— Hélas ! je ne puis vous suivre, car je suis enchaîné par Dieu ;
Car la main de Dieu me tient, et il faut que j’aille aux ordres. —
Et, en revenant de Quimper, il repassa par le manoir.
— Bonheur, seigneur de Rustéfan ! bonheur à vous tous, grands et petits !
Bonheur et joie à vous, petits et grands, plus que je n’en ai, hélas !
Je suis venu vous prier d’assister à ma messe nouvelle.
— Oui, nous irons à votre messe, et le premier qui mettra au plat sera moi.
Je mettrai au plat vingt écus, et votre marraine, ma dame, dix :