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— Ma mère, c’est mon père.
— Non, répondit-elle, ton père est mort depuis longtemps.
L’araignée vint et dit à la femme :
— Je suis l’araignée.
— L’araignée est morte depuis longtemps.
L’araignée est un imposteur.
C"est fini.
XXXIII. — OUOLOF[1].
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LA HYÈNE, LE BŒUF ET L’ÉLÉPHANT[2]
ne hyène, courant toutes les nuits pour
chercher sa nourriture, tomba dans un
grand trou ; elle avait beau grimper
pour sortir ; c’était peine inutile. Lorsque le jour
fut venu, on l’entendit hurler de loin. Un bœuf,
touché de compassion, s’approcha de l’abîme et
reconnut l’infortunée. Son cœur fut ému, mais
il n’osait lui porter secours. La hyène le pria, au
nom de Dieu, de la délivrer du danger, en lui