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— Chef, je suis venu pour ajuster ma houe sur votre tête.
Il l’ajusta sur la tête de l’éléphant et ils partirent.
Quand ils eurent pioché, la houe de l’éléphant se détacha.
— Lièvre ! chef ! dit-il, ma houe est tombée, je veux la rattacher sur votre tête.
Le lièvre dit :
— Attendez-moi un peu.
Et il se sauva. Quand l’éléphant alla voir après lui, il ne trouva personne.
LXIV. — TETE (OU CHINYOUNGWE)[1]
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L’ENFANT MÉCHANT ET LE CHIEN[2]
n enfant malintentionné s’avisa un jour
de noyer un chien ; il le fit monter dans
un bateau, précipita le pauvre animal
dans la rivière et le poussa avec une rame pour