Page:Basset - Nouveaux Contes berbères, 1897.djvu/146

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pour toi de pleurer, répliqua-t-elle ; pour moi, tu vas voir ma sœur revenir avec moi. » Alors elle alla chercher une herbe qu’elle mit au nez de la morte. À peine celle-ci l’eut-elle sentie qu’elle se leva et courut. Le jeune homme les regardait, il vit cette herbe, la prit, la mit au nez de son frère qui se leva et revint à la vie (193).

Voilà ce que nous avons entendu.