Page:Basset - Nouveaux Contes berbères, 1897.djvu/213

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le tua et dit à la femme qu’il était son mari. Elle le fit remonter. Alors il l’effraya et l’obligea de lui livrer tout ce qu’ils possédaient en fait d’ornements, d’argent, de parures, d’esclaves, de chameaux, de moutons et de brebis. Elle lui donna tout cela et il revint vers les siens.