Non ce n’est pas fini, je ne puis l’admettre. Je veux à présent réparer ma faute.
Mais non, mais non, il n’y a rien à réparer, je vous dis… ce qui est fait est fait… Dites ? Croyez-vous ?… (Elle se rapproche de lui humble et fille.) Est-ce que vous pourrez m’aider un peu ?
Je crois bien.
Oui ?… Ça, c’est gentil !… Croyez-vous, hein, qu’ils m’ont condamnée aux travaux forcés !
Je savais, j’étais certain que vous n’étiez pas coupable.
Bien sûr, je n’étais pas coupable. Est-ce que je suis une voleuse ou une empoisonneuse ! On peut dire tout ce qu’on voudra mais pas ça… (Elle le regarde à la dérobée, puis se rapproche, traînant la savate.) Ici, ils prétendent qu’il faut signer un pourvoi, mais ça coûte très cher ?… pas !… les frais d’avocat ?
Oui… j’ai déjà vu l’avocat.