et il s’en paie de pioncer jusqu’à Marseille ! Alors, vous allez vraiment reprendre votre ouvrage ?
Dans une huitaine… Il n’y aura plus d’inconvénient… D’ici là je travaille pour mon compte… Il y avait du retard dans mon ménage… Ce que j’ai à réparer !
Et dites voir un peu… Chez les gens dont je vous avais causé vous gagneriez trois francs par jour et nourrie.
Merci. Là où je travaille, j’ai deux francs. Mais si je peux, j’y retournerai encore. L’habitude, n’est-ce pas ?…
Vous n’y travaillez pas toute la semaine ?
Non, quatre jours seulement.
Eh bien ! vous pourriez vous arranger.
Oui, si ces personnes n’ont besoin de moi que deux jours par semaine. On pourrait voir…
Avec cette frimousse et à votre âge, s’être laissé pincer bêtement… Et un sans pognon encore, peut-être ?… Qu’est-ce qui vous a fait ça ?… Un larbin ? Je parie que c’est un larbin de grande