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PHILIPPE.
Mais il faudrait qu’avant déjeuner…
LEVASSEUR, (coupant avec sécheresse.)
Assez, à la fin ! Tout à l’heure…
(Philippe obéit et se retire à gauche, premier plan.)
Scène IV
LEVASSEUR, JEANNE
LEVASSEUR.
Je suis navré ! Je comprends la peine odieuse que cette rencontre a dû te faire !
JEANNE.
Évidemment, sur le moment, ça m’a saisie ! Mais je ne suis pas jalouse du bonheur des autres… Il est beau !… C’est un beau garçon, votre fils !
LEVASSEUR.
Ah ! pour celui-là, tu dis vous ! À tes yeux, je comprends, ma pauvre Jeanne, ce n’est pas le fils légitime !… Il a vingt-cinq ans. Je l’ai eu trois ans après mon mariage.
JEANNE.
Quatre ans de moins que Paul ! Il est en permission, en ce moment ?
LEVASSEUR, (embarrassé.)
Non… non… Il est… il est à la censure.
JEANNE.
Ah !
(Un silence.)