Page:Bataille - Théâtre complet, Tome 3, 1922.djvu/101

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KOLOSSOW.

C’est vrai ?

NEKLUDOFF, se dégageant.

Comptez-y, mon cher, comptez-y ! Bonsoir !

KOLOSSOW.

Bonne nuit, hein ?…

(Nekludoff sort.)


(Il entr’ouvre la porte par où vient de sortir Nekludoff et il chantonne un refrain démodé d’Offenbach, en envoyant des myriades de baisers avec ses doigts bagués.)

RIDEAU