talus… suis mon raisonnement… Voici un arbre… eh bien…
Que je suis seule, mon Dieu… que je suis seule !…
Allons, voyons ! Ne te fais pas des mondes !
Tout le monde s’en va… Soyez tranquille. Tout s’est très bien passé. (Bernier lui fait signe de les laisser seuls, qu’il n’y a plus rien à craindre, qu’elle s’en aille. Madame Garzin s’approche du canapé, tend la main à Lolette, qui lui tend la sienne sans regarder.) Bonsoir, chérie…
Qu’est-ce que c’est ? (Alors, elle est prise d’une crise de sanglots, elle pleure, elle pleure). Loulou, Loulou, ne pleure pas comme ça… Tu sais bien que je t’aime toujours… C’est l’essentiel.
Non, laisse… j’ai froid, ne m’évente pas… Ah ! que j’ai froid !… Que je me sens seule !…
Mais c’est qu’en effet il fait un froid de loup