que je fais. Tout se ligue contre moi. Depuis tout à l’heure, je cachais mon anxiété sous un sourire. Je suis un homme très malheureux…
Pourquoi ? Qu’est-ce que tu as ? Tu me caches donc quelque chose ? Tu as des ennuis ?
Oui, j’ai le spleen !… Des ennuis aussi… j’en ai…
Il me semblait bien le deviner à ta figure, à ta façon de parler… Tu n’avais pas l’air heureux.
Tes paroles me faisaient pourtant du bien. Je n’ai du plaisir qu’avec toi et, juste à ce moment, il faut que tu nous sépares… Ah ! tu ne peux pas savoir comme ça tombe mal…
Qu’est-ce que c’est que ces ennuis que tu as, mon chéri ? Je ne veux pas que tu sois triste.
Toutes sortes !
Mais encore ? Allons, avoue !… Ne suis-je pas ton amie ?
Oh ! des ennuis qui ne te regardent pas, des
