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Page:Bataille - Théâtre complet, Tome 5, 1922.djvu/366

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MADAME FÉRIOUL MÈRE.

Le petit est désolé, tu sais, il pleure… il…

FÉRIOUL, (l’interrompant.)

Une seconde, ma mère…

CHARLOTTE.

Alors, au revoir… Tu n’as besoin de rien de Paris ?… Tu ne veux-pas que je te rapporte quelque chose ?

FÉRIOUL, (les yeux baissés.)

Non, merci… je ne vois pas…

CHARLOTTE.

Pas de commissions ?

FÉRIOUL.

Va vite !…

CHARLOTTE.

Et… on ne s’embrasse pas ?…

FÉRIOUL.

Mais si…

CHARLOTTE, (l’embrassant.)

Au revoir, mon chéri, porte-toi bien.

FÉRIOUL.

Au revoir et… bon courage…

CHARLOTTE, (montant l’escalier.)

Chéri !…