que toi pour avoir des idées pareilles ! Comme je voudrais te voir dans ces fonctions ! Les femmes des ministres ne les accompagnent jamais dans ces petites fêtes ?
Ça dépend. Aux funérailles des fonctionnaires morts pour la patrie tu pourras venir.
Tu n’as pas froid ?
Ni froid, ni chaud. Bon.
Ça veut dire que tu as froid, je te connais. Attends. (Elle se lève avec précipitation.) Oh ! Ces domestiques qui ne viennent jamais.
Par délicatesse.
Joséphine ! Voyons, je vous sonne depuis une heure… Monsieur meurt de froid.
Tu exagères. Ce n’est pas encore la retraite de Russie.
Oh ! puis le thé ! J’oubliais complètement. Suis-je bête ! Il va être trop fort, maintenant. (Joséphine entre.) Joséphine, à quoi pensez-vous ? Il n’y a plus de bûches.
Bonjour, Joséphine.