Elle connaît ma vie, c’est vrai !
Niais que vous êtes !… Parbleu ! Elle vous attire à l’étranger pour que vous deveniez ensuite sa chose !… Et puis, après, vous verrez ! Oh ! Julien !… Finir ainsi !
Eh bien, la belle perte !… J’étais un médiocre !… Vous m’aviez bien jugé ! sans sévérité ! Vous voyez, la vie vous donne raison… Voilà ce que j’étais, Frédérique.
Seriez-vous un lâche, par surcroît ?
Aussi !… Du reste, que faire ?… Il n’y a pas d’effort à tenter… je les ai tous épuisés.
Et vous avez tout tenté pour trouver la somme qui désintéresserait cet entrepreneur ?… Vous ne pouvez pas lui rembourser cette avance ?
Trois cent mille francs ! Et il ne me reste plus un sou personnel.
Cette femme a de l’appétit.
Je n’ai pas assez de crédit sur la place de Paris pour les trouver ! Je n’ai pas de garantie… On m’a offert des emprunts. Cinquante, cent mille francs.