volant. À la suite de plusieurs cas de rupture de la corde, dus à de brusques coups de vent, nous eûmes l’idée d’interposer entre la bride et la corde de manœuvre une lanière de caoutchouc ZY (fig. 3, p. 27) de 0m,005 de section, doublée trois ou quatre fois. Cette modification nous a donné d’excellents résultats. En effet, le coup de vent, au lieu d’attaquer brusquement la force d’inertie de la corde, met, grâce à l’élasticité du caoutchouc, un certain temps à la vaincre et, par suite, répartit son effort sur une plus grande longueur.
Par excès de précaution, nous relions l’olive de la corde de manœuvre à la bride du cerf-volant au moyen d’une corde lâche, qui deviendrait utile si, par extraordinaire, la lanière de caoutchouc venait à se rompre.